Index des différents films traitant de la libération des camps de la Seconde Guerre Mondiale.
-"Les Anges Marqués", 1945, de Fred ZINNEMANN. Durée : 1h45.
Un soldat américain stationné en Allemagne prend à sa charge un orphelin de guerre. C'est un enfant de neuf ans, rescapé des camps, muré dans son mutisme. Refusant de lui livrer son identité, le soldat le baptise Jim. Mais il ne sait pas que la mère de l'enfant le recherche...
-"La liste de Schindler", 1993, de Steven SPIELBERG. Durée : 3h15.
Oskar Schindler, fils d'industriel d'origine autrichienne rentré à Cracovie en 1939 avec les troupes allemandes, est membre du parti nazi. Il va, tout au long de la guerre, protéger des juifs en les achetant puis en les faisant travailler dans sa fabrique et en 1944 sauver huit cents hommes et trois cents femmes du camp d'extermination de Auschwitz-Birkenau. Quelques mois plus tard, la guerre se termine. Oskar Schindler et sa femme quittent le pays car ils sont pourchassés comme criminels de guerre par les alliés, mais pas avant avoir dit adieu aux 1 100 Juifs qu'ils ont sauvés et de s'être vus offrir par ces derniers une bague avec l'inscription : « Celui qui sauve une vie sauve l'humanité toute entière »
-"Nuit et Brouillard ", 1955, Alain Resnais
-"De Nuremberg à Nuremberg", 1989, Frédéric Rossif
-"Le prêteur sur gages", 1965, Sidney LUMET. Durée : 1h30.
Ancien professeur, Sol Nazerman a perdu sa femme Ruth et ses enfants à Auschwitz. Rescapé par miracle, il a émigré aux États-Unis et tient à Harlem une petite boutique de prêteur sur gages.
Hanté par les souvenirs du passé et se reprochant d’avoir survécu à ceux qu’il aimait, il s’est replié sur lui-même, refusant d’éprouver le moindre sentiment. Dans son commerce, il ne se laisse jamais attendrir par les clients désemparés qui tentent d’obtenir quelques dollars en échange d’objets la plupart du temps sans valeur. Même Mr. Smith, le vieux philosophe qui aimerait tant discuter avec lui, se voit régulièrement rabroué.
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